FRANCE ECOLOGIE

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EDITO

Isabelle JACONO
Présidente de France Ecologie

Depuis plus de 25 ans, les relations entre les écologistes et le monde économique ont évolué de la méfiance (voire hostilité des débuts) à une phase de débat ouvert dans un contexte qui a  vu aussi le développement de filières économiques performantes liées à l’écologie.

 Pourtant, persistent encore des préjugés à l’ encontre de l’écologie, toujours vue par certains comme une menace pour le développement économique.

 Il faut reconnaître que les deux grands ennemis de l'écologie  ont été trop souvent le déni ou le   catastrophisme .

Aujourd'hui, la crise aura au moins eu la vertu de  relancer le débat sur la définition même du développement et du progrès en matière économique, et ainsi  de pointer les effets pervers de bon nombre de mécanismes économiques actuels, ou montrer toute la diversité des initiatives et filières de « l’économie verte » .

France Ecologie n'a jamais été convaincue que le libre-marché pouvait  accoucher naturellement et sans régulation externe, d’une société solidaire, respectueuse de l’environnement et génératrice de nouveaux emplois de qualité.

Les constats que l’on peut actuellement tirer de l’observation de ces dernières crises engendrées par une économie mondiale globalisée et libéralisée, dont l’objectif principal consiste à maximiser le taux de profit, nous confortent dans cette analyse.

Jamais, les impasses du système actuel n’ont en effet été aussi criantes : fracture sociale dans les nations riches et dénuement total dans les pays les moins favorisés, tensions internationales, crises financières à répétition et d’ampleur toujours plus grande, dérèglements climatiques, pollutions en tous genres, épuisement des ressources......

C'est pourquoi il devient urgent de passer d’une économie de marché à une économie de projets , des projets qui placeront la France sur la voie d’un développement durable. Notre volonté est ainsi de construire une alternative pragmatique et crédible au mode de croissance actuel. Dans cette optique, nous affirmons que l’écologie est une nécessité pour l’économie .

Le développement durable n’est pas une contrainte nouvelle pour les entreprises, mais une opportunité pour l’activité et pour l’emploi, et un impératif pour éviter demain, des coûts bien plus élevés.

Le développement durable n’est pas non plus une contrainte pour les consommateurs mais une source d’économies et une source de bien-être améliorant  l’état de notre environnement et donc de notre santé.

La crise économique globale démontre aujourd’hui , que l’Etat - dont le rôle a été réduit depuis plusieurs années - a une responsabilité essentielle à exercer comme acteur de marché, stimulateur et régulateur. Il s’agit donc pour nous, d’orienter le marché et si nécessaire  de l ’encadrer plutôt que de subir ses diktats. Nous refusons donc que l’économique s’installe au-dessus ou à la place du politique.

Le développement économique, même dans une économie globalisée, doit se retrouver dans le champ du débat politique car, c’est à la société tout entière de forger un destin valable pour tous et d’être au service du développement durable et du bien être de la société.

 

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Laurianne d'Este
Vice -présidente de France Ecologie
 

La fin annoncée d'Home sapiens sapiens
Ed Ellebore-Sang de la Terre
Coll. La pensée Ecologique
 
     
 C’est un véritable cri d’alarme que nous lance Lauriane d’Este en établissant un état des lieux des désastres écologiques occasionnés par notre civilisation.
Le constat est sévère et il demande des solutions radicales : il s’agit d’un nécessaire et indispensable changement de société. C’est une vraie révolution de nos moeurs, de nos idées, de nos pensées, de nos attitudes qui nous est proposée et c’est seulement à ce prix que nous réussirons à nous sauver.
À une époque où les thèmes écologiques sont mis en avant, cette prise de conscience salutaire nous permet d’avoir une vision claire de notre avenir. Loin d’être pessimiste, cet ouvrage est avant tout lucide et ne peut que nous inciter à réagir et à devenir acteur de notre avenir, c’est en cela qu’il nous paraît encore plus indispensable.


LAURIANE D’ESTE
Professeur des universités, agrégée, docteur ès lettres, habilitée à la direction de la recherche, elle a enseigné en France et aux États-Unis. Elle est l’auteur de nombreux articles et ouvrages dans le domaine de l’art et de la philosophie de l’art. Engagée depuis longtemps dans le combat associatif, elle est vice-présidente de FRANCE ECOLOGIE et également administratrice de la Société nationale de protection de la nature (SNPN). Elle a été pendant six ans vice-présidente de la Société protectrice des animaux (SPA),

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Laurianne d'Este
Vice -présidente de France Ecologie
 

Professeur des universités, agrégée, Docteur ès lettres, elle a enseigné en France et aux Etats Unis. Elle est l'auteur de nombreux articles  et ouvrages. Engagée dans le combat associatif, elle est aujourd'hui vice-présidente de FRANCE ECOLOGIE et de la SPA, elle est également administrateur de la SNPN ( Société Nationale de Protection de la Naure). Lauriane d'Este milite pour la défense de la nature et de la biodiversité ainsi que pour la défense des animaux. Elle a publié en 2002 La pPlanète Hypothéquée aux Editions de l'Harmattan.

La Condition Animale
Plaidoyer pour un statut de l'animal
Ed Sang de la Terre
Coll. La pensée Ecologique

juin 2006


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FRANCE ECOLOGIE - PACA
Premier colloque national grand public de santé environnementale liée à la mer
Lauréat
 " coup de coeur " de la Fondation Nicolas Hulot
 

Colloque “mer, environnement et santé” à Cassis  


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Dominique Julien Labruyère
Vice président de France Ecologie

Dominique Julien Labruyere fréquente la haute vallée de Chevreuse depuis sa plus tendre enfance.
Soucieux de la protéger il participe aux premiers combats pour éviter qu'elle ne se transforme en une banlieue urbaine. Il est l'un des principaux artisaans de la création du Parc Naturel Régional de la Haute Vallée de Chevreuse.
Conseiller régional écologiste en 1992, il aida à la création de deux autres Parcs naturels régionaux en  Ile de France, le Vexin et le Gâtinais
Il nous livre sa vision, sous forme romancée, de l'histoire de la protection de la Haute Vallée de Chevreuse  Au delà de l'histoire  proprement dite, il nous entraine dans une réflexion plus large sur la protection des espaces naturels aux portes de la capitale.
Actuellement, il poursuit son action pour une meilleure prise en compte de l'écologie  au sein du mon de politique comme Président délégué de France Ecologie.

Vertcoeur
Ed Chemin de Trave


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FRANCE ECOLOGIE - Pays de Loire
le 6 mai 2006: colloque "emploi - environnement

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FRANCE ECOLOGIE - Poitou Charente
Le 11 mars 2006  - Colloque Energies renouvelable

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7 avril 2006 5 07 /04 /avril /2006 13:06

 

IP/06/XXXX
Bruxelles, le 5 avril 2006

France: les progrès accomplis par les autorités françaises permettent à la Commission de clore les dossiers sur la chasse et l'eau alimentaire.
La Commission européenne a décidé d'abandonner les poursuites contre la France dans deux cas de violation de la législation européenne sur l'environnement. Le premier concerne un arrêt de la Cour de justice des Communautés européennes de 2000 demandant à la France d'interdire la chasse aux oiseaux sauvages pendant leur période de migration prénuptiale et de reproduction. Le second concerne la pollution de l'eau alimentaire en Bretagne, pour lequel la Cour a condamné la France en 2004.
"Je me félicite que nous ayons pu résoudre ces affaires longtemps en suspens", a déclaré M. Stavros Dimas, le commissaire européen responsable de l'Environnement. "La France devra néanmoins continuer à assurer le respect de ces dates de chasse à l'avenir. J'espère qu'elle fera aussi des progrès dans d'autres cas de violation de la législation européenne sur l'environnement."
Chasse aux oiseaux
Dans un arrêt rendu en décembre 2000, la Cour de justice des Communautés européennes a condamné la France pour avoir fixé la saison de la chasse aux oiseaux pendant leur période de migration vers leurs lieux de couvaison et de reproduction (affaire C-38/99). Cette pratique violait la directive européenne sur la conservation des oiseaux[1] qui prévoit un large programme de protection des espèces d'oiseaux sauvages de l'Union européenne, notamment en limitant les espèces d'oiseaux pouvant être chassées ainsi que les périodes pendant lesquelles leur chasse est autorisée.
Les problèmes liés à la période de chasse en France tenaient au fait que l'ouverture de la saison de chasse était trop précoce et/ou que sa fermeture était trop tardive pour certaines espèces.
La France a réformé graduellement sa législation, en modifiant d'abord la date de fermeture de la chasse puis, plus récemment, celle de son ouverture. Les dernières mesures françaises, prises en mars 2006, mettent la date d'ouverture de la chasse de certaines espèces sauvages en conformité avec les informations scientifiques disponibles. En conséquence, la Commission a décidé de clore le dossier.
Eau alimentaire polluée en Bretagne
La Commission a également décidé de clore le dossier relatif à la pollution des eaux alimentaires en Bretagne.
La France avait été condamnée en octobre 2004 par la Cour de justice des Communautés européennes pour non-respect des normes de qualité fixées dans la directive sur la qualité des eaux destinées à la consommation humaine[2] (affaire C-505/03). En fait, le degré élevé de pollution de l'eau alimentaire par les nitrates, en Bretagne, menaçait en particulier la santé des enfants en bas âge. Une concentration excessive de nitrates dans l'eau administrée à des nourrissons de moins de six mois peut provoquer un essoufflement et un syndrome de l'enfant bleu, aux conséquences parfois mortelles. Ces nitrates proviennent principalement des engrais employés dans l'agriculture.
Suite aux différentes mesures prises par les autorités françaises, la Commission estime que la qualité de l'eau en Bretagne est maintenant conforme aux dispositions de la Directive et a décidé de classer le cas...................( voir suite du communiqué de la Commission) 

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